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Tueurs en serie

VIP-Blog de tueursenserie
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  • Créé le : 12/09/2011 16:52
    Modifié : 11/07/2017 12:38

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    Jacques Mesrine . ( L'ennemi public n° 1, L'homme aux mille visages ,le Robin des Bois français ).parti 1.

    02/10/2011 14:43

    Jacques Mesrine . ( L'ennemi public n° 1, L'homme aux mille visages ,le Robin des Bois français ).parti 1.


    Surnom : L'ennemi public n° 1

                     L'homme aux mille visages

                     le Robin des Bois français

    Naissance : 28 décembre 1936

              Clichy-la-Garenne

    Décès : 2 novembre 1979 (à 42 ans)

            Porte de Clignancourt, Paris

    Nationalité : France

    Profession : Représentant en tissus

    militaire

    maquettiste

                     restaurateur et aubergiste

    Formation : Formation de parachutiste-commando à l'armée


    ________________________


    Jacques René Mesrine , né le 28 décembre 1936 à Clichy-La-Garenne et mort à 42 ans le 2 novembre 1979 à la porte de Clignancourt à Paris, est un criminel français ayant opéré principalement en France mais aussi au Québec, en Espagne et une fois en Suisse et en Italie. Il est surnommé « l'homme aux mille visages » ou, à tort de son propre aveu, « le Robin des Bois français ». Déclaré « ennemi public numéro un » au début des années 1970, il est notamment connu, en France, pour des braquages médiatisés et pour ses évasions.


    ____________________

     

    Jeunesse et guerre d'Algérie :

     

    Fils de André Pierre Mesrine (1908-1973) et de Fernande Buvry, commerçants aisés du textile, c'est à Clichy-La-Garenne (au 5 de l'avenue Anatole-France) qu'il grandit et qu'il se met à fréquenter le quartier populaire de Pigalle à Paris. Ses parents ont pourtant des projets pour lui : ils souhaiteraient plus tard le voir intégrer l'école des hautes études commerciales (HEC). Mais il n'aime pas l'école. Il effectue une partie de sa scolarité au collège-lycée de Juilly, tenu par les oratoriens. Il en est renvoyé à cause de violences exercées envers le proviseur. Il devient alors représentant en tissus. À noter qu'il avait comme camarade d'école Jean-Jacques Debout1. Brièvement marié de juillet 1955 à 1956 avec Lydia de Souza, alors qu'il n'a que dix-neuf ans, Jacques Mesrine s'engage dans la guerre d'Algérie comme parachutiste-commando. C'est durant celle-ci qu'il prend un pistolet .45 ACP et le rapporte en France. Il l'aura constamment sur lui. Jacques René Mesrine sera décoré par le général de Gaulle de la croix de la Valeur militaire. Il revient en France en mars 1959, après avoir reçu un certificat de bonne conduite de la part de la 626e compagnie. D'après ses proches, l'expérience de l'Algérie l'a profondément marqué ; il aura été plusieurs fois de « corvée de bois » (exécution sommaire de prisonniers en dehors des enceintes militaires). En outre, Mesrine a été membre de l'OAS en 1961.


    _________________

     

     

    Premiers crimes en France :

     

     Il participe à de nombreux cambriolages dès l'âge de vingt-trois ans, avec son ami de toujours Tony Ferreira. Le 4 novembre 1961, il a un enfant (une fille qui s'appellera Sabrina) avec Maria de la Soledad qu'il a rencontrée lors de vacances en Espagne. Il ne se mariera qu'une seule fois. C'est à cette époque qu'il est arrêté et condamné pour la première fois à payer une amende pour port d'armes prohibées. Le 17 janvier 1962, il est arrêté au Neubourg, à côté de Louviers, où ses parents avaient une maison de campagne, alors qu'il tentait, avec trois complices, de braquer le Crédit agricole. Il est condamné, pour la première fois, à dix-huit mois de prison en mars 1962. Il passera son temps d'incarcération dans les prisons d'Évreux, puis d'Orléans. Il est relâché en 1963. Il souhaite alors quitter la vie criminelle et trouve un emploi dans une entreprise d'architecture d'intérieur. Mais il perd son travail suite au chômage technique de celle-ci et redevient criminel.

    _____________________

    Les îles Canaries, le Québec et le Venezuela :

     

     Le 2 décembre 1965, il est arrêté à Palma de Majorque en train de voler des documents politiques dans le bureau du gouverneur militaire. La police locale le soupçonne de travailler pour les services secrets français. Il est condamné à six mois de prison.

     En octobre 1966, il ouvre un restaurant à Santa Cruz de Tenerife dans les îles Canaries. Parallèlement Jacques Mesrine continue son activité criminelle.

    En décembre 1966, il attaque une bijouterie à Genève, en Suisse. En mai 1967, il ouvre une auberge à Compiègne, en France.

     Le 15 novembre 1967, il cambriole un hôtel à Chamonix où il est reconnu.

    Le 8 décembre, il braque une maison de haute couture parisienne où il est, là aussi, reconnu. Maria de la Soledad le quitte et leurs trois enfants, Sabrina Mesrine (1961), Bruno Mesrine (1964) et Boris Mesrine (1966), sont confiés aux parents de Mesrine.

    Le 6 février 1968, il échappe aux policiers et fuit au Québec avec Jeanne Schneider, maîtresse rencontrée après son divorce. Cette dernière était une call-girl, dont les souteneurs ont été abattus par Mesrine, selon ses dires. À cette époque, il n'est recherché que pour escroqueries.

    En juillet 1968, les deux arrivent à Montréal. Le couple entre au service d'un milliardaire handicapé, Georges Deslauriers, qu'ils enlèvent le 12 janvier 1969, après avoir été renvoyés et demandent une rançon de 200 000 USD à son frère, Marcel. Mais Georges Deslauriers réussit à s'échapper. Dès lors, Mesrine se lance dans la grande criminalité.

    Le 26 juin 1969, le couple Mesrine-Schneider quitte le motel des trois sœurs à Percé où il s'était réfugié et franchit illégalement la frontière des États-Unis.

    Le 30 juin, le corps étranglé d'Évelyne Le Bouthilier, patronne du motel, est découvert dans sa résidence à Percé. En fuite aux États-Unis, Mesrine est arrêté à Texarkana, dans l'Arkansas, et extradé vers le Québec. À sa sortie d'avion, il fanfaronne devant les journalistes et déclare, reprenant une phrase du général de Gaulle : « Vive le Québec libre ! » Accusé de meurtre et de kidnapping, Mesrine se retrouve à la une des journaux québécois. Il est déclaré ennemi public numéro un.

     Le 17 août 1969, Mesrine et Schneider s'évadent de la prison de Percé, mais ils sont repris le lendemain. Toujours en août 1969, ils sont condamnés respectivement à dix et à cinq ans de prison pour l'enlèvement et la séquestration de Georges Deslauriers.

    En janvier 1971, Mesrine et Schneider sont acquittés pour le meurtre de Le Bouthilier. Mais cette accusation d'un meurtre qu'il déclara ne pas avoir commis, malgré un important faisceau de présomptions, fut pour Mesrine un des thèmes principaux de son deuxième livre, Coupable d'être innocent, écrit en 1979.

    Le 21 août 1972, il s'évade de la prison de Saint-Vincent-de-Paul avec cinq autres détenus dont notamment Jean-Paul Mercier. Leurs cavales sont émaillées de nombreux méfaits.

    Le 26 août, ensemble, ils braquent la caisse populaire de Saint-Bernard à Dorchester, puis, dix minutes plus tard, ils font de même avec celle de Saint-Narcisse de Lotbinière, soit deux le même jour. Leur butin s'élève à 26 000 USD.

    Le 28 août, ils braquent la Toronto Dominion Bank à Montréal. Ils la braquent à nouveau trois jours plus tard.

     Le 3 septembre, ils échouent dans leur tentative de libérer trois prisonniers de la prison de Saint-Vincent-de-Paul, celle où ils se trouvaient prisonniers et ils blessent grièvement deux policiers. Une semaine plus tard, pendant qu'ils s'exercent au tir, Mesrine tue deux garde-chasses en compagnie de Jean-Paul Mercier, près de Saint-Louis-de-Blandford au Québec. En octobre, après d'autres braquages à Montréal, ils effectuent un court passage à New York, au palace du Waldorf-Astoria. Puis, d'octobre à novembre 1972, Mesrine fuit au Venezuela avec Jean-Paul Mercier et leurs deux maîtresses. Plus tard, Mercier les quittera pour revenir au Québec. Il sera tué d'une balle dans la tête lors d'une de ses tentatives de casse deux ans plus tard. Quant à Jeanne Schneider, elle finira sa peine en France à la prison de Fleury-Mérogis. À sa sortie, elle restera en France.








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