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Catégorie : France ,Belgique .Allemagne .

Tueurs en serie
VIP-Blog de tueursenserie
  • 51 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 12/09/2011 16:52
    Modifié : 11/07/2017 12:38

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    Mohammed Merah : Le tueur au scooter ,Youssef-al-Firansi(Youssef le Français) .

    30/04/2012 16:44

    Mohammed Merah : Le tueur au scooter ,Youssef-al-Firansi(Youssef le Français)  .


    Surnom : Le tueur au scooter

    Youssef-al-Firansi

    (Youssef le Français)

    Naissance : 10 octobre 1988

    Toulouse (Haute-Garonne)

     Décès : 22 mars 2012 (à 23 ans)

    Toulouse (Haute-Garonne)

    Cause du décès : Tué par balles par le RAID

                         Série d'assassinats par balles

     Affaires : Tueries de mars 2012

    à Toulouse et Montauban

    Nombre de victimes : 7 morts et 6 blessés

    Période : 11 mars - 22 mars 2012

    Pays : France

    Régions : Midi-Pyrénées

    Villes : Toulouse Montauban

    ___________________________________

     


    Mohammed Merahn , né le 10 octobre 1988 à Toulouse et mort le 22 mars 2012 dans la même ville, suite à un assaut du RAID, est un terroriste islamiste français. Il a revendiqué les tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban, au cours desquelles son utilisation d'un scooter lui a valu le surnom de « tueur au scooter ». Ses trois vagues d'assassinats faisant un total de sept morts , dont trois enfants , et six blessés et sa tentative d'interpellation, qui a duré 32 heures et au cours de laquelle il a finalement été abattu, ont fait l’objet d’une couverture médiatique exceptionnelle, controversée par certains, au cœur de la campagne électorale de l'élection présidentielle française de 2012.

     

    ________________

     

     Famille :


     Issu d'une famille algérienne, Mohammed Merah est le cadet d'une fratrie de deux sœurs (Souad, née en 1978, mariée, voilée à la demande de son mari et Aïcha, née en novembre 1990) et trois frères (Abdelghani, né vers 1979, Abdelkader, né en 1982, condamné en 2005 à deux ans d'emprisonnement dont vingt mois de sursis pour des faits de violence, interpellé le 21 mars 2012, mis en examen le 25 mars, notamment pour complicité d'assassinats et association de malfaiteurs en vue de la préparation d'actes de terrorisme). Selon son père, Mohammed Merah qui est inscrit depuis sa naissance au consulat d'Algérie de Toulouse possède la double nationalité algérienne et française. Le journal Liberté-Algérie affirme que son passeport algérien a été renouvelé la dernière fois le 20 mars 2010. Ses parents se sont rencontrés à Béni Slimane en Algérie. Son père Mohammed Ben-Allal Merah, né le 16 avril 1942 dans la ville de Souagui, arrivé en France pour la première fois en 1966, ancien ouvrier à la fonderie de Muret, avait déjà divorcé deux fois et avait sept enfants. Mais cette nouvelle union ne tient pas : les parents de Mohammed Merah divorcent en 1994 lorsqu'il a cinq ans. Mohammed Ben-Allal Merah est condamné le 21 juin 2000 à cinq ans de prison pour trafic de cannabis par le tribunal correctionnel de Toulouse et en 2001 à neuf mois supplémentaires pour subornation de témoins, il est incarcéré de 1999 à 2003 d'abord à la prison Saint-Michel à Toulouse puis à la prison de Seysses. Il retourne définitivement en 2004 en Algérie, où vivent également des oncles, des cousins et un demi-frère de Mohammed Merah. Après son divorce avec Zoulikha Aziri, Mohammed Ben-Allal Merah se remarie deux fois. Durant l’été 201141, sa mère, Zoulikha Aziri, née vers 1957, sans profession, épouse en seconde noce pendant quelques mois Mohamed Essid, né à Monastir en Tunisie, naturalisé français, père de Sabri Essid qui appartenait à un groupe radical de l'Ariège dont les membres ont été condamnés pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » en 2009. Le 21 mars 2012, elle refuse de parler à son fils Mohammed Merah pour l'inciter à se rendre comme le lui demande la police prétextant qu'"elle savait bien qu'il ne l'écouterait pas". Lors d'une réunion de famille tenue le 25 mars 2012 au Mirail, dans le quartier Bellefontaine, elle déclare « Mon fils a mis la France à genoux. Je suis fière de ce que mon fils vient d’accomplir ! » . Selon le journal algérien El Khabar, la famille de Mohammed Merah ne serait pas un milieu propice à l'antisémitisme, puisqu'« un des frères de Mohammed était légalement marié à une femme de confession juive, et qu’une de ses sœurs vivait avec un ami de religion juive ». Abdelghani Merah affirme au contraire que son frère Abdelkader l’aurait « poignardé », parce qu’il ne supportait pas qu’il soit en ménage «avec une Française d’origine juive». Ces accusations ont été rejetées par Maître Anne-Sophie Laguens, l'avocate d'Abdelkader Merah . _Biographie

    __________________________

     

    Enfance :

     

     Mohammed Merah grandit à Toulouse dans le quartier de Bellefontaine (Mirail) puis, après le divorce de ses parents, dans la cité des des Izards, quartier des Trois-Cocus, au nord de la ville dans un pavillon blanc, au milieu de gens du voyage sédentarisés. Il est confié à sa mère qui rencontre des difficultés à l'éduquer. À l'âge de six ans, il est placé dans une famille d'accueil. En 1998, il passe un an dans un premier foyer. Il en fera cinq au cours des années qui suivent. Au moins trois travailleurs sociaux s'occupent de lui : un éducateur de la Protection judiciaire de la jeunesse, un autre d'une association de quartier ainsi qu'un animateur. À partir de 1994, Mohammed Merah entre au cours préparatoire à l'école primaire Bastide dans le quartier de Bellefontaine, à l'école primaire Ernest-Renan dans celui des Izards puis dans deux autres établissements. Selon un officier de police, il a une scolarité « difficile » marquée par des redoublements, des sanctions, des exclusions. Il fréquente trois collèges. Inscrit pendant six mois dans une classe de 5e du collège Anatole France, il s’en fait renvoyer à la suite d'une bagarre. Un professeur note « de réelles capacités », un autre « un réel talent » en arts plastiques. Mais la plupart déplorent ses absences et des attitudes « graves et inadmissibles ». Après la 4e, il est élève, de 2004 à 2005, au CFA des Arènes pour préparer un CAP de carrossier. Dans l'atelier, il dérobe quelques outils, pistolets à peinture et ponceuses. Il obtient une place d'apprenti le 21 septembre 2006 à la carrosserie Clarauto d'Aucamville. Son patron le considère comme un bon élément, d’une habileté hors du commun au travail, et d’une grande amabilité. Passionné de football, il affiche dans sa chambre des posters de joueurs français. En 1995 ou 1997, il prend sa première licence. Il appartient alors au petit au club du Mirail, puis passe au club des Izards et enfin au club JS Toulouse Pradette. Il finit sa carrière de footballeur comme gardien de but remplaçant dans l’équipe des seniors (20-35 ans).

     

    _______________________

     

    Délinquance:

     

     En 2004, Mohammed Merah jette des pierres sur un autobus, ce qui lui vaut une simple admonestation. En janvier 2005, il tient tête à l'une des éducatrices du foyer Mercadier et lui donne un coup de poing à l'œil. En 2006, il est poursuivi pour un vol de portable, de moto, et des insultes. Durant sa minorité, il est condamné à quatorze reprises par le tribunal pour enfants pour diverses affaires de dégradations, de manquements à l'autorité ou de vols. Le 18 décembre 2007, lors d'une procédure de comparution immédiate, Mohammed Merah, devenu majeur, est condamné à 18 mois de prison ferme, pour vol avec violence sur une personne âgée dans le hall d'une banque. Il n'est emprisonné que cinq mois et demi à la maison d'arrêt de Seysses (Haute-Garonne), du 18 décembre 2007 au 2 juin 2008. Il se plie sans difficulté à la discipline de cet établissement et n’y a pas côtoyé d’islamistes prosélytes, affirment ses gardiens. Il est ensuite transféré à la prison Saint-Sulpice (Tarn) où, en octobre 2008, il est libéré profitant d'un placement extérieur. En décembre 2008, alors qu'il travaille « plus ou moins activement » dans diverses entreprises toulousaines, il refuse d'obtempérer à un contrôle policier forcé et est réincarcéré à la maison d'arrêt de Seysses jusqu'en septembre 2009. Bernard Squarcini, le directeur central du renseignement intérieur, précise que « c'est une conduite sans permis qui le fait basculer, et emprisonner dix-huit mois, puisque ses sursis tombent à la fin de sa majorité pénale.» Mohammed Merah trouve injuste la sanction qui lui est infligée et il entre en rébellion contre les institutions. En prison, il s'adonne, selon le procureur de Paris François Molins, à une lecture assidue du Coran, commence à se radicaliser, et agresse des co-détenus. Durant son incarcération, le jour de Noël 2008, il tente de se suicider par pendaison et passe quinze jours en hôpital psychiatrique au CHU Gérard Marchant de Toulouse du 25 décembre au 8 janvier 2009. En juillet 2010, Merah se présente un après-midi au point d'information de la Légion étrangère de Toulouse, mais abandonne le lendemain sans même participer aux tests de sélection. En revanche, il n'a pas tenté d’intégrer l'Armée de terre, à Lille en janvier 2008 comme l'a d'abord annoncé par erreur le SIRPA avant de démentir l'information. Selon son avocat « cet échec avec l'armée, plus que la prison, lui donne le sentiment qu'il n'aura définitivement pas sa place dans la société française. Et c'est là qu'il se passe quelque chose ». Comme pour compenser cette déception, Mohammed Merah indique sur son CV qu'il a passé l'année 2010 à la Légion étrangère. Le 24 février 2012, il est jugé une nouvelle fois pour conduite sans permis ainsi que pour blessures involontaires, puis condamné à un mois de prison ferme, mais laissé libre. Il devait comparaître début avril devant le juge d'application des peines. D'après Claude Guéant, il a dans son casier judiciaire en 2012, 18 faits de violence à son actif (parmi lesquels vols, recels, vols aggravés avec violence, outrages et conduite sans permis)dont 15 quand il était mineur, et un total de condamnations s'élevant à 21 mois de prison. Il était cependant jusqu'ici considéré comme un « petit délinquant ».

     

    __________________________

     

    Parcours international et retour en France :

     


     Aux policiers qui l'interrogent durant le siège de son appartement, il se présente comme un « autodidacte de l'islam » qui a lu le Coran « seul en prison ». Pourtant, il accompagne son père à la mosquée dès l'âge de quatre ans. De 2007 à 2009, il aurait reçu une instruction religieuse dans une école coranique à Toulouse et en 2010, lors de son dernier séjour en Algérie, il fréquente une première école coranique dans la ville de Mouzaya, wilaya de Blida, puis une seconde dans la ville de Tizi-Ouzou. La section Étrangers et Minorité de la DCRG émet dès 2006 une fiche “ S ” comme sûreté de l’État, à son nom, le désignant comme « membre de la mouvance islamiste, radicale, susceptible de voyager et de fournir une assistance logisitique à des militants intégristes ». Cette fiche disparaît en 2008 lors de la fusion entre les RG et la DST (Direction de la Surveillance du Territoire), devenus la DCRI. En novembre 2007, il séjourne en Espagne pour participer aux journées islamiques de formation en Catalogne. En 2008, il obtient un permis pour rendre visite en prison à Sabri Essid, ex-grutier, membre d'un groupe de recrutement de volontaires pour le « djihad » en Irak, interpellé en décembre 2006 en Syrie, transféré en France en février 2007 et condamné le 9 juillet 2009 à 5 ans de prison dont un an avec sursis par la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour association de malfaiteurs à visée terroriste. Mohammed Merah lui apporte un mandat de 100 euros. Le 25 juin 2010, une mère de famille toulousaine porte plainte contre Mohammed Merah pour avoir fait regarder à son fils de 15 ans « des vidéos d’Al-Qaïda avec des scènes insoutenables », notamment des femmes exécutées d'une balle dans la tête et des hommes égorgés. Mais il n'est pas inquiété par la justice. Le 15 juillet 2010, Mohammed Merah achète avec une carte bleue un billet aller-retour Paris-Damas pour un séjour prévu du 17 juillet 2010 au 17 septembre 2010. Le 13 novembre 2010, il débarque à Kaboul. La police locale le contrôle le 22 novembre à Kandahar et le remet aux forces américaines qui constatent que son passeport fait état d'un passage en Turquie, Syrie, Liban, Jordanie, Israël, Irak, Égypte. À la suite de cette interpellation, Merah est placé par les autorités américaines sur la « liste noire » des personnes interdites de vol aux États-Unis. Il est expulsé d'Afghanistan et remis dans un avion pour la France où il rentre le 5 décembre 2010. Avertis de cet épisode par les militaires américains, leurs homologues français de la Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD) transmettent l'information à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), et celle-ci enregistre Merah dans ses fichiers en mars 2011 comme un jeune islamiste à surveiller. Il est placé sous écoutes téléphoniques à la même date. La Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité donne à chaque fois un « avis favorable ». La DCRI décide elle-même d'interrompre la surveillance téléphonique en novembre 2011. Le 8 août 2011, les autorités pakistanaises lui délivrent un visa touristique d’un mois. Il séjourne de quatre à six semaines à Rawalpindi, Lahore et Gujrat, dans l'est du pays. Les services de renseignements pakistanais (Inter-Services Intelligence, ISI) le signalent à l'ambassade de France comme un candidat potentiel au djihad. Il est en effet pris en charge par le Mouvement islamique d'Ouzbékistan (MIO), qui encadre les « étrangers » venus combattre les « infidèles » en Afghanistan. Il est testé pendant dix jours pour vérifier qu’il n’est pas infiltré par les services occidentaux et reçoit dans un camp d'entraînement du Waziristan du Nord, aux côtés d'autres recrues européennes, une formation pendant deux jours au maniement des armes et au combat rapproché avec le Tehrik-e-Taliban Pakistan (TTP). Il passe ainsi deux mois au Pakistan, mais doit écourter son séjour à la mi-octobre 2011, car il a contracté l'hépatite A. Il est hospitalisé à l'hôpital Purpan de Toulouse. Il refuse d'être soigné par des femmes. Le 22 novembre 2011, lorsqu'il est interrogé par la DCRI sur ces voyages, Mohammed Merah prétend qu'il faisait du tourisme et recherchait une épouse. En décembre 2011, la DCRI décide d'inscrire son nom au Fichier des Personnes Recherchées (FPR). Mohammed Merah se marie religieusement le 15 décembre 2011 avec une jeune femme de l'agglomération toulousaine, d'origine algérienne. Mais l'union tourne court en quelques jours, la jeune femme désertant l'appartement « pour retourner vivre chez son père à Blagnac ». En janvier 2012, Mohammed Merah et son frère Abdelkader vont au hameau des Lanes pour rendre visite à Olivier Corel, 65 ans, un Français d'origine syrienne soupçonné d'avoir hébergé des islamistes radicaux, voire de les encourager à partir au combat pour le consulter sur le divorce religieux et la loi islamique. La procédure de divorce est engagée qui aboutit officiellement le 20 mars 2012. Selon le quotidien serbe Kurir, Merah se serait rendu en février 2012 à Zavidovići en Bosnie pour écouter le prédicateur extrémiste de Brunswick Muhamed Seyfudin Ciftci. En 2006, il quitte le domicile maternel et emménage dans un appartement de 38m2 au rez-de-chaussée surélevé d'un immeuble situé au 17 rue Sergent-Vigné, dans le quartier de Côte Pavée à Toulouse. Dans le salon aux volets toujours fermés se trouve un immense Coran et plusieurs grands sabres sont accrochés au mur. Le loyer est pris en charge par un organisme social car ses seules ressources officielles sont un virement mensuel de Pôle emploi de 330€.

     

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